La découverte de l’escrime apporte une vraie différenciation par rapport aux activités sportives collectives ou d'opposition communément
proposées.
L’escrime est l’un des rares sports d’opposition où l’on peut travailler en mixité (filles-garçons). Ce sport a une dimension culturelle importante
intimement lié à l’Histoire, à la littérature, au théâtre,...
La discipline se construit autour de valeurs liées au respect des règles, de l'adversaire, de l'enseignant (le Maître d'armes). Elle s’appuie également sur
des notions propres à l'escrime :
Arme de prédilection des escrimeurs pontiviens, le sabre diffère des deux autres armes car c’est une arme d'estoc, de taille et de contre-taille (ou de pointe, de tranchant et de contre tranchant). Comme le fleuret le sabre est une arme conventionnelle c'est-à-dire qui répond à des règles de priorité afin de déterminer la priorité d’attaque et donc lequel des deux tireurs marquera le point.
La surface valable au sabre est toutes les parties du corps au dessus de la ceinture. C'est un héritage du sabre de cavalier car toucher le cheval (donc les jambes) est considéré comme déshonorant.